Et là, je me mets à fantasmer tu vois ... Je l'imagine alanguie dans le divan, elle lit son bouquin en sirotant son café. Elle est tellement passionnée par l'histoire qu'elle ne remarque pas que je suis en train de lui caresser les jambes poilues avec des idées en tête et des envies plein le froc. Puis je lui embrasse les pieds, je remonte tout doucement le longs de ses jambes, je m'y attarde, je meurs d'envie de déjà arriver à destination entre ses cuisses pour y savourer la moiteur de son minou si chaud et si poilu mais je me l'interdis, je veux faire durer le plaisir, attendre, languir avec des ondes électriques qui me parcourent le gland ... Je ne veux rien troubler de ce moment magique, je suis maintenant à quelques centimètres de cet antre diabolique qui me rend fou. J'en perçois l'odeur et j'en ai la tête qui tourne. Les poils de ses cuisses me chatouillent le visage, j'ai la queue raide qui me supplie de mettre fin à ce supplice infernal. Elle attendra que la dame donne le signal, elle n'a qu'à se contenter de se frotter à ses pieds, ses mollets et ses cuisses poilues avec interdiction formelle d'entrer dans le nid qui devient de plus en plus humide et qui commence à perler.
Quand elle lâchera son bouquin et qu'elle me regardera avec les yeux vitreux, la douloureuse attente prendra fin brutalement, je saurai que c'est le moment de la pilonner à grands coups de queue jusqu'à lui remplir la chatte de foutre. Voilà comment je conçois les choses, je veux bien me montrer doux et patient mais je décide de la fin qui doit être bestiale car d'expérience c'est ce qu'elles attendent ces femelles.
j'adore sa pilosité !!
RépondreSupprimerEt là, je me mets à fantasmer tu vois ...
RépondreSupprimerJe l'imagine alanguie dans le divan, elle lit son bouquin en sirotant son café.
Elle est tellement passionnée par l'histoire qu'elle ne remarque pas que je suis en train de lui caresser les jambes poilues avec des idées en tête et des envies plein le froc.
Puis je lui embrasse les pieds, je remonte tout doucement le longs de ses jambes, je m'y attarde, je meurs d'envie de déjà arriver à destination entre ses cuisses pour y savourer la moiteur de son minou si chaud et si poilu mais je me l'interdis, je veux faire durer le plaisir, attendre, languir avec des ondes électriques qui me parcourent le gland ...
Je ne veux rien troubler de ce moment magique, je suis maintenant à quelques centimètres de cet antre diabolique qui me rend fou.
J'en perçois l'odeur et j'en ai la tête qui tourne.
Les poils de ses cuisses me chatouillent le visage, j'ai la queue raide qui me supplie de mettre fin à ce supplice infernal.
Elle attendra que la dame donne le signal, elle n'a qu'à se contenter de se frotter à ses pieds, ses mollets et ses cuisses poilues avec interdiction formelle d'entrer dans le nid qui devient de plus en plus humide et qui commence à perler.
Quand elle lâchera son bouquin et qu'elle me regardera avec les yeux vitreux, la douloureuse attente prendra fin brutalement, je saurai que c'est le moment de la pilonner à grands coups de queue jusqu'à lui remplir la chatte de foutre.
Voilà comment je conçois les choses, je veux bien me montrer doux et patient mais je décide de la fin qui doit être bestiale car d'expérience c'est ce qu'elles attendent ces femelles.
Nom de Dieu de bordel de merde !
Ça m'a bien goûté ton histoire !
SupprimerMerci, content que cela t'ait plu mon p'tit chou :)
Supprimer